C’est vrai que l’éco-anxiété, c’est pas facile à digérer. Je me souviens d’une fois où j’ai traîné au marché de Lyon, c’est hallucinant la quantité de produits locaux qu’on peut trouver ! J’essaie aussi de réduire les déchets, genre je garde toujours des bocaux pour le vrac, ça fait le job. Et pour les sacs, t’as raison, j’en ai un dans la voiture, sinon c’est la galère, surtout avec les courses ! Au final, ça devient presque un derfi sympa de changer ses habitudes. Courage à tout le mondde, on finira bien par trouver notre rythme !